
Henri et Sarah sont deux héros hors normes qui ont fait connaissance dans des conditions rocambolesques précédemment. A présent, ils nous emmènent dans un univers très turbulent, aux frontières de l’Algérie, de la Libye et du Niger, à la recherche d’une énigme enfouie dans un décor de peintures rupestres. Leur quête les conduira sur les pas des plus anciennes populations méditerranéennes et jusqu’en Égypte, au contact du « Printemps Arabe » et des coptes.
Des héros atypiques et attachants, une écriture alternée explicitant les sentiments de l’homme et de la femme de manière séparée et personnelle, des intrigues périodiques. Cet ouvrage s’inscrit dans la suite des aventures du couple, débutée avec « Shooter dans les pigeons » du même auteur.
Jean-Paul FOUCARD est né à ALGER, d’un père officier d’active dans l’armée française. Son enfance s’est déroulée en Algérie, et plus particulièrement au Sahara qui l’a profondément marqué. Il a étudié, ensuite, au Prytanée militaire de La Flèche puis au lycée français de Berlin. Il se dit donc l’héritier d’un mélange de cultures explosif : méditerranéenne et germanique. Il est Diplômé en Sciences Économiques et Lauréat de la Faculté de Droit et de Sciences Économiques de Paris. Une carrière exercée dans le monde bancaire, puis celui du consulting international, lui a offert l’occasion de découvrir bien des horizons. Il a écrit depuis une quinzaine d’années une grande quantité de textes de toutes natures. Mais le roman, pour la liberté imaginaire qu’il confère à l’auteur, est devenu son genre de prédilection.
Critique d’Eric Naulleau avec l’aimable autorisation de son auteur pour "Shooter dans les pigeons" :
« Sur une excellente recommandation, j’ai lu votre roman.
Et je l’ai lu avec plaisir…
A mon humble avis, votre livre ne manque pas de qualités
et j’espère que vous poursuivrez dans cette voie littéraire.
Mon salut sur vous… »
Jean Paul FOUCARD
propriétaire de la boutique
Mon credo d’auteur
Je crois que la parole est liée à l’échange et constitue le premier support de communication. Je crois que l’écrit est le plus puissant moyen de fixer les mots dans un cocon structuré et durable. Il permet de transmettre des expériences, des réflexions,des émotions, de l’humour, du savoir, de la rationalité et de l’irrationalité . Échange de pensées à pensées.
Je crois que le livre-papier constitue un écrin de choix pour la société. Il peut être un « bel objet », que l’on a plaisir à s’offrir ou à offrir et peut porter une dédicace, petit signe d’amitié ou d’amour qui résonne avec le thème ou le texte.
Je ne tiens pas le même discours pour la poésie car, autant porter un texte sur un écran n’apporte, à mon avis, aucune valeur ajoutée sauf en cas d’utilisation d’hypertexte, autant l’adjonction d’images et de musique à une œuvre poétique peut créer une ambiance supplémentaire favorable à la réception, par le lecteur-auditeur, des émotions que l’auteur a voulu transmettre. Ce n’est pas contradictoire et je le pratique.
Je crois que, au-delà des grosses machineries productrices de« best-sellers » imposant, à coup de marketing et de moyens financiers très importants, leurs auteurs et leurs productions, il y a de la place pour des auteurs moins célèbres mais, aussi, moins condamnés à produire et qui peuvent proposer autre chose que ce que la majorité des lecteurs demande et qu’on lui vend.